Père Émilien Tardif
Padre Emiliano Tardif
Francais Continuité
Historique
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Un miracle de DieuJe souffrais d'arthrite rhumatoïde. Ce n'est pas une maladie que l'on peut confondre avec l'arthrite ou les rhumatismes, maladies propres aux personnes d'un certain âge, sans graves Conséquences.L'arthrite rhumatoïde a des causes inconnues et on ne sait la guérir. Elle attaque les articulations en produisant une grande douleur et l'organisme les rejettent. La personne a le corps qui durcit, se déforme et finit sur un fauteuil roulant.Cela commença en octobre dernier par des douleurs dans les chevilles, les genoux, et les poignets, avec une fatigue générale. Pensant que ce n'était pas grave, j'allais chez le médecin qui me fit faire des analyses qui permirent de déceler l'arthrite. Le laboratoire me recommandait d'aller aux États-Unis pour chercher un traitement. Dans le centre arthritique où j'étais soignée, je fus très impressionnée par les différentes phases de la maladie. Le docteur Alonso Portune, le spécialiste, confirma le diagnostic et me dit que cette maladie était incurable. On ne pouvait que la rendre stationnaire avec des sels d'or. Le remède a des effets négatifs : j'eus des éruptions sur tout le corps, perdis mes cheveux et les ongles des pieds.Deux femmes atteintes d'arthriteMon taux de plaquettes sanguines et de globules blancs devint anormal. Alors, vint au Paraguay le Père É. Tardif. Je l'écoutais pour la première fois en l'église de saint Alphonse. Au moment de la guérison, je sentis que mon coeur allait exploser, il battait si fort que j'entendais ses palpitations. La seconde fois se fut en l'église du Colonel Oviedo. De nouveau, au moment de la prière de guérison, je sentis un tremblement dans tout le corps. Le Père dit qu'en ce moment-là, deux femmes atteintes d'arthrite étaient en train de guérir. Il leur dit de s'agenouiller. En vérité, je n'eus pas le courage de le faire, car je n'étais pas convaincue qu'il s'agissait de moi et je ne croyais pas à ce type de guérison, peut-être par manque de foi. J'allai à une troisième messe. Alors, mes douleurs avaient disparues et je ne prenais plus de médicaments. Ma mère s'informa chez la Sœur Marguerite Prince quel était le jour du départ du Père Émilien, et nous avons pu le rencontrer de nouveau à l'aéroport. Il fit alors avec le Père André une prière pour ma guérison. En terminant, il me dit : "ne dis plus "j'ai de l'arthrite" mais "j'en avais" car tu es guérie. "Mes douleurs disparurent et je ne prenais plus de médicaments (alors que j'étais arrivée à la dose de 12 ascriptins par jour et à des piqûres hebdomadaires de sel d'or). |
Programmation: Patrick Allaire, ptre
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